Sigmund Freud

4 avr 2015

Henri Bergson s'évertue à justifier ce que René Descartes a justifié. Il parle ainsi d'un « moi fondamental », qui serait au plus profond de la conscience, formant la dimension réellement personnelle et créative alors qu'en surface on ne trouve que ce qui est réflexe, réflexions qu'il dit « solidifiées » et par conséquent codées dans le langage. Les mots sont considérés comme une forme insuffisante ne permettant pas de révéler la complexité de la conscience, on est plus que des mots: on touche ici la dimension anti-rationnelle typique du post-modernisme.
Le moi, comme dans le post-modernisme, se renouvelle de manière ininterrompue: les objets sont statiques dans l'espace, même s'ils changent parfois (et jamais de manière interne, jamais qualitativement) alors que dans le temps, à travers la durée, la conscience se modifie. Henri Bergson nous dit ainsi...

23 nov 2013

Des tentatives de « réconcilier » le matérialisme dialectique et la psychanalyse ont naturellement existé. La première tentative fut effectuée par un disciple direct de Sigmund Freud, Wilhelm Reich (1897-1957), dont les œuvres les plus célèbres sont La Psychologie de masse du fascisme et La Révolution sexuelle...

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