23 fév 2012

édito du 23 février 2012

Submitted by Anonyme (non vérifié)

L'univers n'a ni début, ni fin ; il est éternel, éternelle transformation. Que l'on cherche dans ce qui est grand, infiniment grand, petit, infiniment petit, jamais on ne cessera de constater que la dialectique est la loi fondamentale de l'univers.

 

Jamais on ne pourra s'arrêter et dire : voilà, on a l'élément premier. Car il n'y a pas d'élément premier, tout comme il n'y a pas de fin. Rien n'est indivisible ; toute chose est le fruit de l'unité des contraires.

 

Telle est la conception matérialiste dialectique ; telle est l'idéologie du Parti Communiste Marxiste Léniniste Maoïste en France. L'univers marche, tout entier, au communisme ; il se transforme, procédant par sauts qualitatifs, et comme les camarades de Chine le constataient au début des années 1970 :

 

« La fin de toute chose concrète, le soleil, la Terre et l'humanité n'est pas la fin de l'univers. La fin de la Terre apportera un corps cosmique nouveau et plus sophistiqué.


À ce moment-là, les gens tiendront des réunions et de célébreront la victoire de la dialectique et souhaiteront la bienvenue à la naissance de nouvelles planètes.

La fin de l'humanité se traduira également par de nouvelles espèces qui hériteront de toutes nos réalisations. En ce sens... la mort de l'ancien est la condition de la naissance du nouveau. »

 

Le nouveau chasse l'ancien, et ce au niveau cosmique ; telle est la loi fondamentale de l'univers éternel en marche vers le communisme.

 

Dans ce cadre, La vie, la matière, l’univers (6ème partie: la cosmologie de Mao Zedong dans la GRCP - l'univers comme oignon) est une importante contribution de plus à notre connaissance de l'idéologie communiste ; c'est même une bombe idéologique de la plus haute importance concernant la dimension cosmologique de Mao Zedong.

 

De la plus haute importance, car elle écrase les positions révisionnistes, en rappelant la nature fondamentale du maoïsme. Le maoïsme n'est pas une « politique » ou une philosophie, c'est la conception scientifique du monde, qui constate que un devient deux, et que lorsqu'on étudie le mouvement de la matière, on constate nécessairement que rien n'est indivisible.

 

« Rien n'est indivisible ! », telle est la conception fondamentale de Mao Zedong, son enseignement primordial, et le PCMLM assume cette thèse, la propage, en développe les conséquences, et les assumera jusqu'au bout : jusqu'à la révolution socialiste en France, jusqu'au communisme à l'échelle mondiale, avec comme conséquences la reconnaissance de la Biosphère et les débuts de la colonisation spatiale à l'échelle de la galaxie, prétexte à la transformation communiste de la matière au niveau de la Voie Lactée.

Publié sur notre ancien média: 
Mots clés: 
Rubriques: